L'histoire De Oni, ce fabuleux pensionnat.

Iru marchais dans la rue vide, son père lui avait dit de partir une ou deux heures dehors, il ne savait pourquoi. Un vent froid le faisait frissonner. De la neige recouvrait les pavé non piétiné. Il leva la tête. Il s'apprêta à rentrer. Il mit ses mains dans ses poches et marcha tête baissé. Arrivait à la petite maison un peu éloigné de la ville, il toqua à la porte en bois vernis légèrement. Les cerisiers se balançait au rythme du vent. L'homme qui lui servait de père lui ouvrit. Il le conduit dans sa chambre ou une fille ensanglanté l'attendait.
-Je te laisse t'en occuper...
Il referma la porte le laissant avec l'étrangère. Mais à quoi son père s'attendait-il, il le fait partir comme ça et voilà quand il reviens y'a une fille en sang dont il doit s'occuper! De plus son père était bizarre et santé la fraîcheur de dehors dans.....
Iru secoua la tête et vit la petite baissée la tête
Il retourna son attention sur l'inconnue et demanda.
-Que t'est-il arrivé?
La fille le regarda elle avait de fins yeux noirs, qui commencé à se remplir de larme.
-...Je... nan, je n'ai pas le droit de le dire....
Iru soupira.
-Quelle âge as-tu?
-...10 ans..
-Tu es plus jeune que moi, j'ai 14 ans. Ne t'inquiète pas je vais m'occuper de toi.
-Merci...
Il alla chercher dans la salle de bain qui était à côté de sa chambre, un tissue humide. Il ouvrit en grand son armoire et commença à chercher des vêtement propre pour la fille. Tiens je ne lui ai pas demander son nom.. Il ne trouvait pas de vêtement qui pourrais lui aller, il revint vers elle. Elle n'avait pas bougeait et le regardé.
Iru demanda.
-Comment t'appelle tu? Moi c'est Iru.
-Oni. Ton père m'a dit qu'il m'adopter...
Iru sursauta sa nouvelle soeur..
-Ah je comprend mieux. Dit notre père maintenant tu es ma petite soeur... Je ne veux pas te faire peur mais fait attention à père.
Oni hocha la tête.
-Je reviens je vais chercher des vêtement dans la chambre ...
Il ne finit pas sa phrase. Iru partit et revient quelques minutes plus tard avec une petite pile de vêtements sur le bras.
-Tient essaye ça.
-oui... Grand frère.
Je crois que je vais bien l'aimer cette petite. Voyant qu'elle avait du mal à enlever son pull il s'approcha et l'aida. Elle avait pleins de sang partout ses vêtement boueux.. Son visage tout pâle avait pleins d’égratignure. Elle avait un petit bonnet rouge. Il lui enleva doucement. Ces cheveux noir tombèrent sur ses frêles épaules.
-C'est bons, tu peux y arriver toute seule?
-Oui.
Il se tourna et attendit. Plusieurs longue minutes s'écoulèrent et enfin elle lui dit le signal. Il se retourna, ses vêtements lui allait à merveille.
-Voilà!
Il souris.
-Je vais finir de nettoyer tes blessures.
Elle hocha la tête en répondant affirmativement. Il empoigna le tissue mouillé et enleva le sang séché de son front...
Quelqu'un toque à la porte de sa chambre décoré avec pleins de poster d'Umibozu. Il ouvrit, son père apparu au seuil de la porte, les sourcils froncé.
-C'est bon tu as finit?
-Oui.
-Je vous laisse, elle dormira dans ta chambre.
Iru baissa le regard.
-Oui, père.
Il repartit aussitôt.
-Je crois que c'est bon. Il faut que tu te repose p'tite soeur.
-Je ne suis pas fatigué!
Iru haussa les épaules.
-...Tu veux dormir où dans ma chambre?
-...Comme tu veux.
-Ca te dérange pas si on partage un lit? C'est que j'ai pas envie de dormir par terre et en plus y'a pas beaucoup de places...
-Nan, ça ne me dérange pas plus que ça.


Ori avait 15 ans, Iru et elle s'entendait comme des jumeaux. Il partageait ensemble tout, tout leurs secret toutes sortes de choses. Mais plus le temps passé plus il s’éloignait chacun de leur côté. Un peu après que Oni soit arrivé, Iru avait découvris que s'était père qui l'avait mis en sang comme ça. Elle était dans la rue et père était en colère, quand il l'a vit, il passa sa colère sur elle, et pour pardonner sa faute, il l'acceuilla chez eux. Il ne l'avais jamais vraiment aimé. Quand Iru avait appris ça, il avait tué père. Maintenant ils étaient plus que deux. Oni était différente des autres humains, en elle, s'y cachait une petite part d'hybride. C'est créature était rejeter de la société. Iru lui avait toujours dit qu'il s'en fichait mais Oni savait bien que lui oui, mais les autres.... Aujourd'hui c'était l'anniversaire d'Iru, ce matin vers 6 h ils s'étaient disputé. Aujourd'hui il avait 19 ans. Leurs appartement qu'il avait acheté à la suite de la mort de père avait connus ce matin les hurlement, Oni avait finis en pleure.
-Mais pourquoi, tu ne m'accompagne jamais au lycée?!!
-Tu sais bien que je ne peux pas!
-Si tu le peux!
-...Tu ne sais pas ce que ça fait!
-...
Iru avait saisis son sac et était partis en claquant la porte.


Plus tard dans la soirée il revient les yeux pétillant.
Oni baissa la tête.
-J'y ai beaucoup travaillé, ça fait depuis 2 ans déjà. Et ça vas pouvoir ce réalisé.
Oni releva la tête.
-Quoi donc?
-...Créer notre pensionnat.
-...
Oni écarquilla de grand yeux.
-Oui! Un pensionnat ou hybride et humains seront mêlés!
-...Je ne sais pas quoi dire. Tu pense que des parents accepteront ça pour leur enfants...
-Oui.
Ori fit son plus grand sourire et fonça dans les bras de Iru. Elle n'allait pas le connaître ce pensionnat mais il ne fallait pas qu'il le sache. C'est yeux laissèrent échapper des larmes...



Iru était en larme. Il était à l’hôpital au chevé de sa sœur. Elle venait de mourir sans qu'il ne pus lui dire au revoir. Depuis sa naissance une maladie l'a hanté et aujourd'hui le jour de ses 16 ans... Elle était morte le sourire aux lèvres, jamais elle n'avait laissé paraître qu'elle était malade, elle avait toujours souris et aidé Iru..
Il allait travaillait dure pour elle, et de la haut elle allait pouvoir être heureuse. Il se leva de la chaise et partit en courant. Quand il alla sur le lieu ou le pensionnat qu'il avait nommé Oni, en souvenir de sa sœur. Ce pensionnat avait été sujet de bouche à oreille. Et il attendait avec impatience la première venus des pensionnèrent. Il fondis en larme....


Iru un soir de nostalgie alla à la tombe d'Oni, il n'avait pas était à l'enterrement, car il savait qu'il allait fondre en larme, et Oni n'aurait pas voulus de ça. Sa tombe était de marbre, décorée de pleins de fleur. Il sourit. Une photo où il figurait avec sa précieuse sœur était là. Il resta plus d'une heure à contemplé le visage de sa sœur.